Compte-rendu de la réunion du Conseil de coopération du 28 juin 2016

Le conseil de coopération s’est réuni le 28 juin 2016

Présents :
Cécile Avallone (Val d’Oise), Julien Barlier (Limoges), Emmanuelle Bompoutou (Cergy-Pontoise), Estelle Breheret (Brest), Annie Brigant (Grenoble), Christine Carrier (Bpi), Mélanie Archambaud, Yoann Bourion (Bordeaux), Philippe Charrier (Strasbourg), Eléonore Clavreul (Bpi), Laurent Delabouglise (Fill), Annie Dourlent (Bpi), Régis Dutremée (Bpi), Thierry Ermakoff (Enssib), Gilles Gudin de Vallerin (Montpellier), Nelly Guillaume (Bpi), Lidwivine Harivel (Toulouse), Dominique Mans (Clermont-Ferrand), Agnès Marcereau (ADBGV), Stéphanie Meissonnier (Fill), Sophie Perrusson (Association RéseauCarel), Fabien Plazannet (SLL), Delphine Quereux-Sbai (Reims), André Richard, Catherine Roux (Marseille), Sarah Toulouse (Rennes), Jean-Claude Utard (Paris)
Excusés :
Sylvie Puechbroussoux (BDP du Cantal), Patricia Rémy (Troyes), Xavier Galaup (Abf)
 
Cécile Avallone (Val d’Oise), Julien Barlier (Limoges), Emmanuelle Bompoutou (Cergy-Pontoise), Estelle Breheret (Brest), Annie Brigant (Grenoble), Christine Carrier (Bpi), Mélanie Archambaud, Yoann Bourion (Bordeaux), Philippe Charrier (Strasbourg), Eléonore Clavreul (Bpi), Laurent Delabouglise (Fill), Annie Dourlent (Bpi), Régis Dutremée (Bpi), Thierry Ermakoff (Enssib), Gilles Gudin de Vallerin (Montpellier), Nelly Guillaume (Bpi), Lidwivine Harivel (Toulouse), Dominique Mans (Clermont-Ferrand), Agnès Marcereau (ADBGV), Stéphanie Meissonnier (Fill), Sophie Perrusson (Association RéseauCarel), Fabien Plazannet (SLL), Delphine Quereux-Sbai (Reims), André Richard, Catherine Roux (Marseille), Sarah Toulouse (Rennes), Jean-Claude Utard (Paris)
Excusés :
Sylvie Puechbroussoux (BDP du Cantal), Patricia Rémy (Troyes), Xavier Galaup (Abf)
 

 
Christine Carrier ouvre la journée en annonçant deux arrivées au 1er septembre 2016, sur les postes vacants, d’une part à la DCNI, sur la coopération nationale : Geneviève de Maupeou, et d’autre part sur le poste de négociatrice RéseauCarel au service des Ressources électroniques : Emmanuelle Suné

 
Les journées d’études à venir :

A l’automne 2016 :

  • Handicap et numérique, 13 octobre 2016, en partenariat avec le SLL, la commission Accessibib de l’Abf et Montpellier
  • Le jeu en bibliothèques, 17 novembre 2016, en partenariat avec Bordeaux et Saint-Martin-en-Jalles

En 2017

  • Cinéma documentaire en partenariat avec l’association Images en bibliothèque, premier trimestre 2017
  • « 40 ans de la Bpi : nouveaux services, nouveaux espaces, nouvelles architectures,… » l’idée est de mettre en avant les ouvertures récentes et en projet, d’inviter des bibliothèques étrangères (Aarhus et peut-être Helsinki). Christine Carrier souligne qu’il est important en année électorale de donner de la visibilité aux bibliothèques.
  • Norme « mesure d’impact des bibliothèques », journée II, avec l’Enssib, l’Afnor et l’Adbu : présentation de l’étude d’impact du Val d’Oise et de l’étude nationale (dont le groupe de travail se réunit la première semaine de juillet) et pour laquelle il sera utile d’avoir des retours de bibliothèques. A ce sujet, Cécile Avalonne précise qu’il s’agira d’une présentation de données chiffrées sur les impacts. Le questionnaire a été soumis  (13 bibliothèques, 820 réponses d’usagers, beaucoup de matière) et commence à être exploité, les premiers retours seront prêts cet automne. Il est possible de se tenir informé via la page FB étude impact bibliothèques.

Fabien Plazannet précise, pour l’étude nationale qu’elle est en discussion avec l’ABF et qu’elle se base sur l’étude espagnole, qui a l’intérêt de proposer une vision économique qui renouvelle l’approche de la mesure d’impact. La mise en place de cette étude est en cours. Il est nécessaire de surmonter une importante difficulté méthodologique et d’assurer son financement par un apport complémentaire.
Fabien Plazannet  présente d’autres travaux en cours :
Fabien Plazannet  présente d’autres travaux en cours :

  • une étude sur les bibliothèques dans les quartiers politiques prioritaires des villes (fréquentation, utilisation)
  • un appel d’offre va être lancé pour une étude sur la composition de la fréquentation des bibliothèques  (étude décennale)
  • en cours de réalisation : une étude sur les bibliothèques et les réseaux sociaux
  • l’enquête statistique annuelle sera mise en ligne avant la fin du mois de juin 2016.

Autres sujets de journées d’étude

  • Ado, jeunes adultes en bib : sujet ouvert à l’intérêt de tous, en partenariat avec Toulouse éventuellement
  • Actualité de la recherche, rencontre organisée annuellement avec l’enssib
  • Le rôle social des bibliothèques ? avec l’Abf IDF. A ce sujet Christine Carrier précise que Françoise Legendre travaille à un rapport sur la laïcité et les bibliothèques qui peut trouver sa place dans cette réflexion

Les membres du conseil de coopération sont interrogés sur leurs attentes et leurs projets :

  • Grenoble, illettrisme, septembre 2017
  • Brest, migration accueils et service. Estelle Bréheret précise que l’association l’âge de la tortue réalise et va déposer aux Capucins une encyclopédie des migrations (photos, récits). Le projet concerne tout l’arc atlantique de Gibraltar à Brest. Juin 2017 est envisagé.

 

Plateforme Les yeux doc par Arlette Alliguié

Il s’agit d’un saut technologique pour le catalogue national de films documentaire.
Ce catalogue est né il y a une trentaine d’année au ministère de la culture, il a été transféré en 2006 du service du livre et de la lecture à la Bpi. Il est mis à disposition des bibliothèques sous forme de DVD. C’est un catalogue « national » car la sélection est faite avec des commissions animées par Images en bibliothèques (IEB) qui regroupe des bibliothécaires de l’ensemble du territoire.
Cette nouvelle formule donne accès à l’ensemble du catalogue, et non plus seulement aux films achetés et offre également la possibilité de visionnement à distance. La plateforme est conçue pour pouvoir être intégrée dans les catalogues. Sa commercialisation se fera par Arte VOD. Un certificat d’exclusivité sera fourni qui permettra de s’abonner directement sans passer par un marché public formalisé.
Les tarifs sont distribués aux membres du conseil de coopération.
 
Ce nouvel outil simplifie également la gestion des droits, négociés pour 10 ans (les films devant être retirés du catalogue à échéance). Il s’avère rassurant pour les ayants droit – qui sont très attentifs à une exploitation légale de leurs films- que ce délai de 10 ans soit géré par un seul interlocuteur et non au cas par cas par les bibliothèques bénéficiaires (le réseau de 600 bibliothèques partenaires est impossible à suivre de près !).
 
La plateforme sera disponible en septembre 2016.
Le catalogue national comprend aujourd’hui 1000 films. Il a été négocié un renouvellement des droits sur 3 ans de 500 films pour la plateforme (nouveaux droits). Les nouveaux films ne seront négociés que pour la plateforme avec les droits suivants :
Ce catalogue est né il y a une trentaine d’année au ministère de la culture, il a été transféré en 2006 du service du livre et de la lecture à la Bpi. Il est mis à disposition des bibliothèques sous forme de DVD. C’est un catalogue « national » car la sélection est faite avec des commissions animées par Images en bibliothèques (IEB) qui regroupe des bibliothécaires de l’ensemble du territoire.
Cette nouvelle formule donne accès à l’ensemble du catalogue, et non plus seulement aux films achetés et offre également la possibilité de visionnement à distance. La plateforme est conçue pour pouvoir être intégrée dans les catalogues. Sa commercialisation se fera par Arte VOD. Un certificat d’exclusivité sera fourni qui permettra de s’abonner directement sans passer par un marché public formalisé.
Les tarifs sont distribués aux membres du conseil de coopération.
 
Ce nouvel outil simplifie également la gestion des droits, négociés pour 10 ans (les films devant être retirés du catalogue à échéance). Il s’avère rassurant pour les ayants droit – qui sont très attentifs à une exploitation légale de leurs films- que ce délai de 10 ans soit géré par un seul interlocuteur et non au cas par cas par les bibliothèques bénéficiaires (le réseau de 600 bibliothèques partenaires est impossible à suivre de près !).
 
La plateforme sera disponible en septembre 2016.
Le catalogue national comprend aujourd’hui 1000 films. Il a été négocié un renouvellement des droits sur 3 ans de 500 films pour la plateforme (nouveaux droits). Les nouveaux films ne seront négociés que pour la plateforme avec les droits suivants :

  • consultation au domicile de l’usager : VAD
  • projection sur des postes individuels à la bibliothèque / consultation sur place
  • projection publique en bibliothèque (avec annonce, flyers, bondes-annonces, comme un cinéma)La plateforme ouvrira avec 150 films, sur la « Médiathèque numérique » d’Arte-Univers ciné

Elle permettra la diffusion aux bibliothèques universitaires, aux bibliothèques associatives (ex : IMEC, Maison du Japon), en fait à toutes les bibliothèques accueillant du public et non plus seulement aux bibliothèques de collectivités territoriales.
 
Temps de présentation du site :
Ouverture sur un « film-vitrine »
Partie éditoriale : 5 rubriques
 
Temps de présentation du site :
Ouverture sur un « film-vitrine »
Partie éditoriale : 5 rubriques

  • 7 jours un film : le coup de cœur de la semaine
  • Portrait : un réalisateur, une thématique, un évènement
  • Les 5 dernières nouveautés
  • Prochainement
  • Ils ont vu : le hit-parade de la consultation dans le réseau+  un lien vers le site professionnel de la Bpi / Cinéma documentaire

La recherche offre diverses possibilités de tri et la page affiche 9 notices : recherche thématique (thèmes Bpi), recherche par collections, courts-métrages, documentaires animés, festival Cinéma du réel, par langues, par pays d’origine
 
Tarifs
En fonction du nombre d’usagers, laissant le choix aux bibliothèques :
 
Tarifs
En fonction du nombre d’usagers, laissant le choix aux bibliothèques :

  • Tous droits
  • seulement VAD

Il s’agit d’un fonctionnement par jetons. En effet avec un fonctionnement illimité, on serait en « SVAD » (=Netflix), mais on aurait alors des limitations sur les nouveautés liées à la chronologie des médias. Avec le système de jetons, en revanche,  il est possible de proposer les films sur la plateforme 3 mois après leur sortie en salle.
Le tarif changera en fonction des paliers. Annie Brigant s’étonne sur les paliers : il lui semble que cela fait une moyenne de visionnements par films très élevée. Christine Carrier  répond que cela est volontaire et ne limite pas le nombre de visionnements.
A propos des tarifs sur devis, il s’agit d’une souplesse qui ne doit pas inquiéter car les tarifs sont raisonnables. Christine Carrier précise que la Bpi doit supporter les coûts des frais techniques, qui n’existaient pas dans l’ancien système (et qui augmenteront avec le nombre des visionnements). Or, les crédits n’augmenteront pas, même si il y a eu un accompagnement du SLL pour la création de la plateforme.
JC Utard pose le problème général de l’utilisation, et de la valorisation des ressources numériques.
C. Carrier répond qu’il faut effectivement que tous les collègues s’en emparent, et pas seulement les vidéothécaires….car les films documentaires peuvent être intégrés dans des actions plus larges (exemple des salons thématiques de la Bpi)…Cela sera l’objet de la journée d’étude avec IEB en 2017.
Delphine Quereux demande quelle base est retenue pour le nombre d’inscrits à la bibliothèque et si les inscrits en jeunesse sont pris en compte. La question n’est pas tranchée.
Si la bibliothèque est déjà client Arte, il n’y a pas de frais de mise en service supplémentaire et une seule facture pour l’ensemble des offres et également un seul numéro d’abonné.
Il est possible de réguler le nombre de visionnages par semaine par exemple, et un film téléchargé reste disponible 7 jours (pour éviter une consommation inutile de jetons).
Catherine Roux  demande s’il est possible de passer par un gestionnaire d’abonnements (à Marseille, CID)? Arlette transmet la question à Arte et donnera la réponse au plus vite.
Pour des activités d’action culturelle « importantes »…ne pas hésiter à contacter la Bpi.
 
Le tarif changera en fonction des paliers. Annie Brigant s’étonne sur les paliers : il lui semble que cela fait une moyenne de visionnements par films très élevée. Christine Carrier  répond que cela est volontaire et ne limite pas le nombre de visionnements.
A propos des tarifs sur devis, il s’agit d’une souplesse qui ne doit pas inquiéter car les tarifs sont raisonnables. Christine Carrier précise que la Bpi doit supporter les coûts des frais techniques, qui n’existaient pas dans l’ancien système (et qui augmenteront avec le nombre des visionnements). Or, les crédits n’augmenteront pas, même si il y a eu un accompagnement du SLL pour la création de la plateforme.
JC Utard pose le problème général de l’utilisation, et de la valorisation des ressources numériques.
C. Carrier répond qu’il faut effectivement que tous les collègues s’en emparent, et pas seulement les vidéothécaires….car les films documentaires peuvent être intégrés dans des actions plus larges (exemple des salons thématiques de la Bpi)…Cela sera l’objet de la journée d’étude avec IEB en 2017.
Delphine Quereux demande quelle base est retenue pour le nombre d’inscrits à la bibliothèque et si les inscrits en jeunesse sont pris en compte. La question n’est pas tranchée.
Si la bibliothèque est déjà client Arte, il n’y a pas de frais de mise en service supplémentaire et une seule facture pour l’ensemble des offres et également un seul numéro d’abonné.
Il est possible de réguler le nombre de visionnages par semaine par exemple, et un film téléchargé reste disponible 7 jours (pour éviter une consommation inutile de jetons).
Catherine Roux  demande s’il est possible de passer par un gestionnaire d’abonnements (à Marseille, CID)? Arlette transmet la question à Arte et donnera la réponse au plus vite.
Pour des activités d’action culturelle « importantes »…ne pas hésiter à contacter la Bpi.
 

Evolution des horaires d’ouverture des bibliothèques de Clermont-Ferrand
par Dominique Mans

La communauté d’agglomération a retenu la compétence lecture publique : 16 bibliothèques et 3 annexes ont été transférées. Le réseau était d’une grande disparité, en particulier sur la gestion des personnels, des congés, etc.
Il a d’abord été procédé à un redécoupage du territoire en 7 » bassins de lectures » représentant une population de 20 -30 000 habitants chacun. D’ailleurs, la communauté urbaine qui est en cours de construction s’est inspirée du découpage des  bassins de lecture pour son découpage en « bassins de proximité » pour la gestion des voiries.
En ce qui concerne les bassins de lecture : pas de modèle unique, pas d’uniformisation des règles de fonctionnement. La mise au norme est progressive (taille des bibliothèques, abonnements etc), bassin par bassin. Cette réorganisation a entrainé une fermeture et créé deux dessertes de bibliobus.
La collectivité a été tout du long très engagée et présente. Début de la réflexion : septembre 2013, copiloté avec DRH.
Démarche en trois temps :
1/ accompagnement au changement
Réflexion d’équipe sur « métier en devenir, métier d’avenir » : groupes de travail de 50 bibliothécaires : badgeuse, réforme des rythmes scolaires, horaires d’ouverture, outils d’organisation  du service, évolution du métier, suivi du temps de travail, plan de formation, communication. Séminaires : un en 2014 puis un en 2015 avec Mathilde Servet, Dominique Lahary, Lionel Dujol (120-130 agents présents sur 150)
Forum intranet : 126 articles publiés, ce qui montre l’intérêt des agents.
 
2/ élaboration de scenarios
Note de cadrage aux responsables des bassins lecture s’appuyant d’une part sur les travaux des groupes,  sur la volonté d’harmoniser les horaires d’ouverture et les travaux  de la commission culture de la CA. Priorité : ouvrir la bibliothèque ! Avec des horaires clairs et facilement mémorisables, à moyens constants.
Objectifs : ouvrir le samedi et accueillir des groupes pendant les horaires d’ouverture.
Principe : moitié du temps de travail affecté à l’ouverture au public (base de 29 heures sans CA, maladies, formation)
Aboutissement : « Cadre commun d’organisation », document de référence
 
3/ mise en œuvre et évaluation (dès septembre 2015)
A noter : portage politique fort qui s’est traduit par deux délibérations (une sur la charte, une sur les nouveaux horaires) et une lettre de commande de la vice-présidente au DGS pour la mise en œuvre. Les premier retours montrent une augmentation de la fréquentation des séjourneurs dans la bibliothèque la plus ouverte du réseau avec pour conséquence des relations parfois tendues dans la relation à l’usager.
 La politique documentaire n’est mutualisée que dans quelques bassins, la charte de PolDoc existe depuis 6 mois et il y a un poste de chargé de réseau poldoc depuis huit à neuf mois.
Ouverture de « 2.5 » bibliothèques.
Deux en projet sont bien lancés, une grande bibliothèque également et un nouveau programme sera lancé à la fin de l’année.
Augmentation des inscrits : 1000 nouveaux en 7 mois (point de départ : 40 000)
Augmentation des prêts : + 20 %
Réunion tous les deux à trois mois pour réaliser les ajustements nécessaires. Chaque décision a un sens : les changements internes sont au bénéfice du public.
 
La commande des élus était claire : (après élections en 2014) ouvrir plus, réflechir à la politique tarifaire (gratuite élargie jusqu’à 25 ans et minima sociaux) et mieux communiquer (pour cela il a été mis en place de rdv réguliers avec blogueurs en particulier pour leur présenter les ressources en ligne). Aujourd’hui se pose la question de l’ouverture du dimanche que souhaite le président de la CA ; la réforme de la DGD devrait aider ce projet à se concrétiser.
 
Les villes du conseil de coopération concernées par la réforme DGD/horaires d’ouverture : Brest, Paris, Limoges et Bordeaux.
Dominique Mans prévoit de proposer un article pour le site professionel.
 
 
Je ne sais pas quoi lire
Régis Dutremée
Voir le support de présentation.
 
« Bibliosésame » est devenu « Eurêkoi » suite à l’entrée dans le réseau de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Ces derniers mois ont été l’occasion d’une campagne de communication financée par les adhésions des villes.
Constat : force de recommandation du bibliothécaire et grande satisfaction des usagers du service.
Souhait de coopérer avec JNSPQL le service de Lorient, débordé par son succès. Les objectifs sont : l’amélioration de l’image des bibliothécaires via internet, la mutualisation des moyens et des compétences. Il s’agit également d’un levier RH pour les bibliothécaires.
 
Partenariat avec la ville de Lorient :
Accord sur le principe mais il n’est pas certain qu’il sera possible de garder le nom. Si cela était possible, l’idée serait de décliner Eurekoi (la marque) en deux services. Cela faciliterait la communication et permettrait de continuer avec les mêmes conventions.
 
La question  de savoir s’il est possible d’entrer dans le réseau « Eurêkoi »  pour un seul des deux services de réponses n’est pas tranché, mais pas de surcoût pour ceux qui y sont déjà, et tarif habituel de 400 euros pour ceux qui entrent.
Un groupe de travail est en cours de constitution pour démarrer le travail à la rentrée. Il devra répondre à un certain nombre de questions : se limiter à la fiction ? critères du questionnaire ? Comment capitaliser les recommandations ? Comment ça s’installe dans les sites ?
Lancement souhaité au moment du salon du livre de mars 2017.
Annie Brigant se porte volontaire GT, d’autant plus volontiers qu’une formation collective est en cours sur la recommandation et ses outils à Grenoble en ce moment.
Christine Carrier souligne que le réseau de répondants devra être solide et intégrer des compétences que la Bpi n’a pas, par exemple en littérature de jeunesse. Elle précise également que si les collègues d’« Eurêkoi » y seront sensibilisés, il est fort probable que le nouveau service s’appuiera sur d’autres collègues.
 
Régis Dutremée annonce qu’il est nécessaire de connaître rapidement nombre de bibliothèques qui participeront : une première liste devra être prête en janvier 2017.
Il y aura une importante communication autour de la coopération et la littérature au salon du livre, politiquement stratégique en 2017.
 
En termes d’organisation, il s’agira d’une gymnastique d’équipe différente que pour les questions-réponses actuelles : organiser des réseaux de répondant plutôt que une ou deux personnes.
 
Les bibliothèques du conseil de coopération qui se déclarent intéressées : Bordeaux, Toulouse, Clermont-Ferrand, Brest, Marseille, Montpellier, Reims, Strasbourg, Grenoble, Levallois-Perret, Cergy (via réseau municipal)
 
Pour le GT : Reims, Montpellier, Bordeaux, Grenoble, Strasbourg          
 
Point Carel
Sophie Perusson
 
Rappels sur la création de Carel et son évolution vers l’association actuelle ; son travail de négociations et ses 4 groupes de travail.
Aujourd’hui, 377 collectivités adhérentes dont Lausanne, réseau canopé, institut français.
 
L’association a participé au baromètre sur accessibilité des ressources numériques dont les conclusions donneront lieu à une journée de travail avec plateformes et éditeurs.
L’association réalise une enquête annuelle sur ressources numériques : analyse des réponses, résultats en ligne sur le site, répartition par BM, BDP et par thématique.
Le travail réalisé avec PNB est reconnu, l’association commence à prendre du poids, ce sont aujourd’hui les éditeurs qui l’approchent et non plus l’inverse.
Néanmoins l’association a besoin de forces vives, d’autant plus qu’il faut monter deux nouveaux groupes de travail : groupe autoformation et groupe jeunesse.
Carel est également une communauté d’entraide active. Olivier Pichon précise qu’au-delà du travail avec les éditeurs, il y a aussi un travail avec les distributeurs qui est mené  (epagine en particulier).
 
Philippe Charrier (Strasbourg) évoque une expérimentation alternative à Strasbourg : borne expérimentale de teléchargment numérique, avec Pnb (300 titres) et un catalogue anglais et allemand. La borne sert à faire de la médiation (pas utile pour télécharger).
 
Intercommunalité et bibliothèques de lecture publique
Laurent Delabouglise, CRL Normandie
Voir support de présentation.
 
Les SRL interviennent sur le champ interprofessionnel, et ont un rôle d’observation affirmé, renforcé, très demandé par les Régions.
En ce qui concerne l’ex Basse-Normandie, ce rôle a été développé sur la librairie, avec des remontées annuelles régulières sur la librairie et le champ de l’économie du livre.
La présentation d’aujourd’hui est un point d’étape de cette étude commanditée par la DRAC, qui donne une image un peu floue car le paysage bouge en permanence (fusions, nouvelles collectivités) mais qui sera un bon point de départ pour l’observation puisque le mouvement de création ou de transformation des EPCI continue.
Petit débat autour de la question : un réseau peut-il exister sans carte unique ? (Strasbourg / Bordeaux / Rennes).
M. Archambaud (Bordeaux) suggère de traiter de la question du développement de projets en réseau au sein d’une intercommunalité lorsque la compétence n’a pas été transférée.
 
Point sur l’avancement des signatures de conventions
Eléonore Clavreul
 
Pour 6 bibliothèques, les conventions sont en cours de signature, pour 4 autres elles sont encore en discussion.
4 bibliothèques étant en attente d’un nouveau directeur, la finalisation des conventions a été reportée à leur arrivée.
 
Rôle de relais des membres du conseil de coopération sur le territoire 
Christine Carrier
 
Quelle légitimité sur quel territoire ? Cela est très différent si on est une ville ou un département. Le texte de la convention évoque ce rôle de relais des bibliothèques signataires sur leur territoire. Cela peut s’entendre comme une autorisation de diffuser mais aussi comme une obligation de diffuser, d’où l’ouverture de ce débat.
Les bibliothèques membres du Conseil de coopération n’ont évidemment pas de pouvoir hiérarchique sur un territoire, mais C. Carrier souligne que  les contacts réguliers avec les collègues sont autant d’occasion de diffuser l’information et faire connaître les possibilités de travail en commun qu’offre la Bpi. Plusieurs membres estiment que ce travail de relais ne peut se faire qu’avec les agences de coopération régionales ou les SRL (services régionaux du livre).
Les SRL, grâce à la participation de la FILL au Conseil de coopération (et de la Bpi au CA et à la commission « Lecture publique et patrimoine » de la FILL) sont effectivement de bons relais, voire des points d’appui.
La place des conseillers pour le livre et la lecture en DRAC est également évoquée, et la proposition d’associer l’association des CLL au conseil de coopération sera examinée.
Delphine Quéreux-Sbaï suggère la possibilité de s’organiser avec les SRL comme le fait la BnF avec ses pôles associés : rayonner via les agences de coopération. G. Gudin de Vallerin suggère un fonctionnement en assemblée plénière d’une part, et en commissions thématiques d’autre part.
La Bpi peut être sollicité pour intervenir dans journées d’études portées par bibliothèques partenaires
 
 
Site professionnel et Carto-FLE
Annie Dourlent/Eléonore Clavreul
                                                              
Le site professionnel Bpipro
Les bibliothèques membres sont aussi attendues pour alimenter le site, qui a été réorganisé. La rubrique « métier » (http://pro-preprod.bpi.fr/metier ), avec ses rubriques « débats et journées d’étude », « outils en partage », « bibliothèques » entre autre peut relayer des interrogations et des nouveautés, des projets, traiter de l’innovation dans les bibliothèques du conseil de coopération.
Ce site peut être un moteur pour la lecture publique française et a besoin d’ambassadeurs (actuellement 4000 visites par mois).
Nb : remerciements à Gilles Gudin de Vallerin qui a transmis dès le lendemain un article sur   les jeux en ligne à Montpellier. L’article est consultable sur le site :et la Bpi attend vos contributions !  http://pro-preprod.bpi.fr/metier/des-jeux-en-ligne-a-montpellier
 
Présentation de « CartO-FLE »  qui recense les ressources FLE des bibliothèques publiques d’Ile-de-France : http://pro-preprod.bpi.fr/autoformation-a-la-bpi/carto-fle-ile-de-france
Le projet est transposable à d’autres territoires. Marseille a fait part de son souhait de mettre en place « CartO-FLE » et pose la question du nom.
La Bpi propose de décliner « Carto-FLE » en précisant le territoire concerné. : Carto-FLE Ile-de-France », « Carto-FLE Marseille » …Cette démarche sera explicitée dans la présentation sur le site professionnel Bpipro.
 
Point divers
Les membres sont interrogés sur les sujets qu’ils souhaitent voir traiter lors de la prochaine réunion.
Bordeaux présentera sa réflexion sur les organigrammes.
Il est suggéré de demander à la BM de Lyon de faire un point sur l’organisation territoriale sur la métropole.
 
Philippe Charrier demande si pour l’étude nationale sur les mesures d’impact des bibliothèques, la Bpi est associée au travail de l’Abf, et notamment au groupe « advocacy ».
C. Carrier précise que cette étude nationale sera pilotée par l’Abf. La Bpi est associée au groupe de pilotage qui pourra peut être amené à associer des bibliothèques.
La première réunion a lieu le lundi 4 juillet, et la Bpi y posera cette question.
 
Point « 40 ans de la Bpi  avec les bibliothèques concernées : Strasbourg, Bordeaux, Montpellier et Grenoble
Il a d’abord été procédé à un redécoupage du territoire en 7 » bassins de lectures » représentant une population de 20 -30 000 habitants chacun. D’ailleurs, la communauté urbaine qui est en cours de construction s’est inspirée du découpage des  bassins de lecture pour son découpage en « bassins de proximité » pour la gestion des voiries.
En ce qui concerne les bassins de lecture : pas de modèle unique, pas d’uniformisation des règles de fonctionnement. La mise au norme est progressive (taille des bibliothèques, abonnements etc), bassin par bassin. Cette réorganisation a entrainé une fermeture et créé deux dessertes de bibliobus.
La collectivité a été tout du long très engagée et présente. Début de la réflexion : septembre 2013, copiloté avec DRH.
Démarche en trois temps :
1/ accompagnement au changement
Réflexion d’équipe sur « métier en devenir, métier d’avenir » : groupes de travail de 50 bibliothécaires : badgeuse, réforme des rythmes scolaires, horaires d’ouverture, outils d’organisation  du service, évolution du métier, suivi du temps de travail, plan de formation, communication. Séminaires : un en 2014 puis un en 2015 avec Mathilde Servet, Dominique Lahary, Lionel Dujol (120-130 agents présents sur 150)
Forum intranet : 126 articles publiés, ce qui montre l’intérêt des agents.
 
2/ élaboration de scenarios
Note de cadrage aux responsables des bassins lecture s’appuyant d’une part sur les travaux des groupes,  sur la volonté d’harmoniser les horaires d’ouverture et les travaux  de la commission culture de la CA. Priorité : ouvrir la bibliothèque ! Avec des horaires clairs et facilement mémorisables, à moyens constants.
Objectifs : ouvrir le samedi et accueillir des groupes pendant les horaires d’ouverture.
Principe : moitié du temps de travail affecté à l’ouverture au public (base de 29 heures sans CA, maladies, formation)
Aboutissement : « Cadre commun d’organisation », document de référence
 
3/ mise en œuvre et évaluation (dès septembre 2015)
A noter : portage politique fort qui s’est traduit par deux délibérations (une sur la charte, une sur les nouveaux horaires) et une lettre de commande de la vice-présidente au DGS pour la mise en œuvre. Les premier retours montrent une augmentation de la fréquentation des séjourneurs dans la bibliothèque la plus ouverte du réseau avec pour conséquence des relations parfois tendues dans la relation à l’usager.
 La politique documentaire n’est mutualisée que dans quelques bassins, la charte de PolDoc existe depuis 6 mois et il y a un poste de chargé de réseau poldoc depuis huit à neuf mois.
Ouverture de « 2.5 » bibliothèques.
Deux en projet sont bien lancés, une grande bibliothèque également et un nouveau programme sera lancé à la fin de l’année.
Augmentation des inscrits : 1000 nouveaux en 7 mois (point de départ : 40 000)
Augmentation des prêts : + 20 %
Réunion tous les deux à trois mois pour réaliser les ajustements nécessaires. Chaque décision a un sens : les changements internes sont au bénéfice du public.
 
La commande des élus était claire : (après élections en 2014) ouvrir plus, réflechir à la politique tarifaire (gratuite élargie jusqu’à 25 ans et minima sociaux) et mieux communiquer (pour cela il a été mis en place de rdv réguliers avec blogueurs en particulier pour leur présenter les ressources en ligne). Aujourd’hui se pose la question de l’ouverture du dimanche que souhaite le président de la CA ; la réforme de la DGD devrait aider ce projet à se concrétiser.
 
Les villes du conseil de coopération concernées par la réforme DGD/horaires d’ouverture : Brest, Paris, Limoges et Bordeaux.
Dominique Mans prévoit de proposer un article pour le site professionel.
 
 
Je ne sais pas quoi lire
Régis Dutremée
Voir le support de présentation.
 
« Bibliosésame » est devenu « Eurêkoi » suite à l’entrée dans le réseau de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Ces derniers mois ont été l’occasion d’une campagne de communication financée par les adhésions des villes.
Constat : force de recommandation du bibliothécaire et grande satisfaction des usagers du service.
Souhait de coopérer avec JNSPQL le service de Lorient, débordé par son succès. Les objectifs sont : l’amélioration de l’image des bibliothécaires via internet, la mutualisation des moyens et des compétences. Il s’agit également d’un levier RH pour les bibliothécaires.
 
Partenariat avec la ville de Lorient :
Accord sur le principe mais il n’est pas certain qu’il sera possible de garder le nom. Si cela était possible, l’idée serait de décliner Eurekoi (la marque) en deux services. Cela faciliterait la communication et permettrait de continuer avec les mêmes conventions.
 
La question  de savoir s’il est possible d’entrer dans le réseau « Eurêkoi »  pour un seul des deux services de réponses n’est pas tranché, mais pas de surcoût pour ceux qui y sont déjà, et tarif habituel de 400 euros pour ceux qui entrent.
Un groupe de travail est en cours de constitution pour démarrer le travail à la rentrée. Il devra répondre à un certain nombre de questions : se limiter à la fiction ? critères du questionnaire ? Comment capitaliser les recommandations ? Comment ça s’installe dans les sites ?
Lancement souhaité au moment du salon du livre de mars 2017.
Annie Brigant se porte volontaire GT, d’autant plus volontiers qu’une formation collective est en cours sur la recommandation et ses outils à Grenoble en ce moment.
Christine Carrier souligne que le réseau de répondants devra être solide et intégrer des compétences que la Bpi n’a pas, par exemple en littérature de jeunesse. Elle précise également que si les collègues d’« Eurêkoi » y seront sensibilisés, il est fort probable que le nouveau service s’appuiera sur d’autres collègues.
 
Régis Dutremée annonce qu’il est nécessaire de connaître rapidement nombre de bibliothèques qui participeront : une première liste devra être prête en janvier 2017.
Il y aura une importante communication autour de la coopération et la littérature au salon du livre, politiquement stratégique en 2017.
 
En termes d’organisation, il s’agira d’une gymnastique d’équipe différente que pour les questions-réponses actuelles : organiser des réseaux de répondant plutôt que une ou deux personnes.
 
Les bibliothèques du conseil de coopération qui se déclarent intéressées : Bordeaux, Toulouse, Clermont-Ferrand, Brest, Marseille, Montpellier, Reims, Strasbourg, Grenoble, Levallois-Perret, Cergy (via réseau municipal)
 
Pour le GT : Reims, Montpellier, Bordeaux, Grenoble, Strasbourg          
 
Point Carel
Sophie Perusson
 
Rappels sur la création de Carel et son évolution vers l’association actuelle ; son travail de négociations et ses 4 groupes de travail.
Aujourd’hui, 377 collectivités adhérentes dont Lausanne, réseau canopé, institut français.
 
L’association a participé au baromètre sur accessibilité des ressources numériques dont les conclusions donneront lieu à une journée de travail avec plateformes et éditeurs.
L’association réalise une enquête annuelle sur ressources numériques : analyse des réponses, résultats en ligne sur le site, répartition par BM, BDP et par thématique.
Le travail réalisé avec PNB est reconnu, l’association commence à prendre du poids, ce sont aujourd’hui les éditeurs qui l’approchent et non plus l’inverse.
Néanmoins l’association a besoin de forces vives, d’autant plus qu’il faut monter deux nouveaux groupes de travail : groupe autoformation et groupe jeunesse.
Carel est également une communauté d’entraide active. Olivier Pichon précise qu’au-delà du travail avec les éditeurs, il y a aussi un travail avec les distributeurs qui est mené  (epagine en particulier).
 
Philippe Charrier (Strasbourg) évoque une expérimentation alternative à Strasbourg : borne expérimentale de teléchargment numérique, avec Pnb (300 titres) et un catalogue anglais et allemand. La borne sert à faire de la médiation (pas utile pour télécharger).
 
Intercommunalité et bibliothèques de lecture publique
Laurent Delabouglise, CRL Normandie
Voir support de présentation.
 
Les SRL interviennent sur le champ interprofessionnel, et ont un rôle d’observation affirmé, renforcé, très demandé par les Régions.
En ce qui concerne l’ex Basse-Normandie, ce rôle a été développé sur la librairie, avec des remontées annuelles régulières sur la librairie et le champ de l’économie du livre.
La présentation d’aujourd’hui est un point d’étape de cette étude commanditée par la DRAC, qui donne une image un peu floue car le paysage bouge en permanence (fusions, nouvelles collectivités) mais qui sera un bon point de départ pour l’observation puisque le mouvement de création ou de transformation des EPCI continue.
Petit débat autour de la question : un réseau peut-il exister sans carte unique ? (Strasbourg / Bordeaux / Rennes).
M. Archambaud (Bordeaux) suggère de traiter de la question du développement de projets en réseau au sein d’une intercommunalité lorsque la compétence n’a pas été transférée.
 
Point sur l’avancement des signatures de conventions
Eléonore Clavreul
 
Pour 6 bibliothèques, les conventions sont en cours de signature, pour 4 autres elles sont encore en discussion.
4 bibliothèques étant en attente d’un nouveau directeur, la finalisation des conventions a été reportée à leur arrivée.
 
Rôle de relais des membres du conseil de coopération sur le territoire 
Christine Carrier
 
Quelle légitimité sur quel territoire ? Cela est très différent si on est une ville ou un département. Le texte de la convention évoque ce rôle de relais des bibliothèques signataires sur leur territoire. Cela peut s’entendre comme une autorisation de diffuser mais aussi comme une obligation de diffuser, d’où l’ouverture de ce débat.
Les bibliothèques membres du Conseil de coopération n’ont évidemment pas de pouvoir hiérarchique sur un territoire, mais C. Carrier souligne que  les contacts réguliers avec les collègues sont autant d’occasion de diffuser l’information et faire connaître les possibilités de travail en commun qu’offre la Bpi. Plusieurs membres estiment que ce travail de relais ne peut se faire qu’avec les agences de coopération régionales ou les SRL (services régionaux du livre).
Les SRL, grâce à la participation de la FILL au Conseil de coopération (et de la Bpi au CA et à la commission « Lecture publique et patrimoine » de la FILL) sont effectivement de bons relais, voire des points d’appui.
La place des conseillers pour le livre et la lecture en DRAC est également évoquée, et la proposition d’associer l’association des CLL au conseil de coopération sera examinée.
Delphine Quéreux-Sbaï suggère la possibilité de s’organiser avec les SRL comme le fait la BnF avec ses pôles associés : rayonner via les agences de coopération. G. Gudin de Vallerin suggère un fonctionnement en assemblée plénière d’une part, et en commissions thématiques d’autre part.
La Bpi peut être sollicité pour intervenir dans journées d’études portées par bibliothèques partenaires
 
 
Site professionnel et Carto-FLE
Annie Dourlent/Eléonore Clavreul
                                                              
Le site professionnel Bpipro
Les bibliothèques membres sont aussi attendues pour alimenter le site, qui a été réorganisé. La rubrique « métier » (http://pro-preprod.bpi.fr/metier ), avec ses rubriques « débats et journées d’étude », « outils en partage », « bibliothèques » entre autre peut relayer des interrogations et des nouveautés, des projets, traiter de l’innovation dans les bibliothèques du conseil de coopération.
Ce site peut être un moteur pour la lecture publique française et a besoin d’ambassadeurs (actuellement 4000 visites par mois).
Nb : remerciements à Gilles Gudin de Vallerin qui a transmis dès le lendemain un article sur   les jeux en ligne à Montpellier. L’article est consultable sur le site :et la Bpi attend vos contributions !  http://pro-preprod.bpi.fr/metier/des-jeux-en-ligne-a-montpellier
 
Présentation de « CartO-FLE »  qui recense les ressources FLE des bibliothèques publiques d’Ile-de-France : http://pro-preprod.bpi.fr/autoformation-a-la-bpi/carto-fle-ile-de-france
Le projet est transposable à d’autres territoires. Marseille a fait part de son souhait de mettre en place « CartO-FLE » et pose la question du nom.
La Bpi propose de décliner « Carto-FLE » en précisant le territoire concerné. : Carto-FLE Ile-de-France », « Carto-FLE Marseille » …Cette démarche sera explicitée dans la présentation sur le site professionnel Bpipro.
 
Point divers
Les membres sont interrogés sur les sujets qu’ils souhaitent voir traiter lors de la prochaine réunion.
Bordeaux présentera sa réflexion sur les organigrammes.
Il est suggéré de demander à la BM de Lyon de faire un point sur l’organisation territoriale sur la métropole.
 
Philippe Charrier demande si pour l’étude nationale sur les mesures d’impact des bibliothèques, la Bpi est associée au travail de l’Abf, et notamment au groupe « advocacy ».
C. Carrier précise que cette étude nationale sera pilotée par l’Abf. La Bpi est associée au groupe de pilotage qui pourra peut être amené à associer des bibliothèques.
La première réunion a lieu le lundi 4 juillet, et la Bpi y posera cette question.
 
Point « 40 ans de la Bpi  avec les bibliothèques concernées : Strasbourg, Bordeaux, Montpellier et Grenoble

Publié le 26/01/2017 - CC BY-SA 4.0

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