Compte-rendu de la réunion du Conseil de coopération du 28 juin 2019
Le Conseil de coopération s'est réuni le 28 juin 2019 à la Bpi

Présents: Mélanie Archambaud (Bordeaux), Laurie Araguas (Toulouse)  Sophie Astier (Marseille), Emmanuel Aziza (Paris, présent le matin), Marine Bedel (Rennes et ADBGV),  Sophie Biraud ( SLL), Nathalie Daigne (Bpi, présente l’après-midi),Hervé Delmare (SLL), Isabelle Bastian Dupleix (Bpi, présente le matin), Annie Brigant (Bpi), Christine Carrier (Bpi), Thierry Claerr (SLL),  Eléonore Clavreul (Bpi), Magali Haettiger (Bpi, présente le matin), Delphine Henry (Fill, présente l’après-midi),  Bénédicte Jarry (Brest), Juliette Lenoir (Nancy), Mélanie Le Torrec (Lyon), Geneviève de Maupeou (Bpi), Philippe Mignard (Strasbourg), Delphine Quereux-Sbai (Reims), Valérie Robin ( Bpi, présente l’après-midi), Guillaume de la Taille (Réseau Carel), Isabelle Westeel (Grenoble)
Excusés : Yves Alix (Enssib), Julien Barlier (Limoges), Alice Bernard (ABF), Gilles Eboli (Lyon),  Gilles Gudin de Vallerin (Montpellier), Jean-André Ithier (ABD), Fabrice Menneteau (Val d’Oise), Sylvie Puechbroussoux (BDP du Cantal), Patricia Rémy (Troyes),Catherine Schmidt (Troyes). Mélanie Villenet-Hamel Clermont-Ferrand)

Ouverture par Christine Carrier

  • Tour de table
  • Actualités de la Bpi
  • Annie Brigant : actualité des travaux

La chenille va être rénovée et à l’issue des travaux le public de la Bpi entrera à nouveau par la Piazza. La coursive du niveau 2 sera  fermée. Les travaux commenceront à la fin 2020 a priori. Le permis de construire est attendu pour septembre. Le chantier dans son ensemble durera deux ans.

Il est prévu de se mettre en contact avec la ville de  Paris et la BnF pour l’accueil des publics notamment pour les week-ends et prendre compte de la réforme du  Bac et le nouveau calendrier.

La ville de Paris est  favorable à l’ouverture  des bibliothèques durant le week-end de Pentecôte. Un courrier interministériel sera d’ailleurs adressé à la Ville de Paris en ce sens. Il s’agit d’éviter les temps d’attente considérables que la Bpi a connu cette année.

Plusieurs bibliothèques rencontrent des difficultés pour négocier l’ouverture du dimanche, notamment à Marseille.

Actualités de la coopération, par Eléonore Clavreul

Point sur les journées d’étude passées et à venir

Thierry Claerr présente la journée nationale  du 4 juillet sur les bibliothèques dans la quartiers politique de la ville (QPV) : restitution de 6 terrains d’enquête (Reims,et Roubaix)  et d’autres retours d’expérience, projection du film No futur et de l’opération des livres à soi ainsi que d’une micro folie. Sur ce point le SLL estime que les bibliothèques doivent être à la manœuvre. La journée sera conclue par Sylvie Robert. Une mise en ligne sera effectuée sur le site du CGET (l’ABF et la Bpi pourront faire le relais). Pour chaque terrain des plaquettes de présentation ont été réalisées, à récupérer en version numérique.

Journées d’étude à venir à la Bpi :

  • Service nouvelle génération matinée pro jeux vidéo et cinéma dans le cadre de Press Start  le 27 septembre 
  • Service Lecture Handicap avec FFDYS le 1er octobre autour de la lecture et la dyslexie
  • Autoformation je Carel le 15 octobre
  • Le service musique le 12 novembre avec l’ACIM autour de la recommandation en bibliothèques
  • 21 novembre :  politiques et bibliothèques avec Bordeaux
  • 23 novembre   : Télérama séries

Autres journées d’étude : 

  • Marine Bedel annonce pour Rennes une journée d’étude fin mars 2020 avec Livre et lecture en Bretagne : « quand les mots me manquent » sur l’accès à la lecture et  à la langue. La Bpi pourrait s’associer. A ce sujet, Christine Carrier annonce le développement d’un plan handicap sur 3 ans. 
  • Paris/ lecture jeunesse : journée sur l’accueil des adolescents en bibliothèques, second semestre 2020
  • Lyon : les grands réseaux européens  avec les BM de Barcelone : Réseau, interculturalité journée le 12 décembre en espagnol le matin
  • ADBGV : une journée le 8 octobre à Grasse sur les collections : »Les collections en bibliothèques : retour vers le futur » , peut-on prêter de tout ?,management, équilibre des collections  
  • Bordeaux : journées BNR 28/29 novembre 

Souhaits de journée d’étude : 

  • Toulouse : la question des équipements mutualisés.  Naissance de nouveaux quartiers sans équipements. Les bibliothèques sont repérées comme équipements de proximité.  La direction des bibliothèques serait pilote du projet d’équipements transversaux pour éviter une cohabitation des différents services. C’est l’actualité ! 

A Nancy, il existe un projet similaire où c’est aussi la bibliothèque qui est tête de projet pour une mutualisation avec la mairie annexe (les collègues de la mairie prendront le relais des bibliothécaires), la formation sera mutualisée. L’IGB a également identifié ce sujet et va s’en emparer. 
Lyon évoque les espaces temporaires avec un exemple qui vient de Berlin
Christine Carrier signale qu’en Finlande  une bibliothèque accueille le centre de santé dans ses murs. C’est une belle thématique pour 2020 !
Toulouse souhaiterait un réseau de discussion d’échanges à ce sujet. 
Marseille demande à  associer le responsable des bibliothèques de quartier  à ces échanges car cette piste de mutualisation est en réflexion. 

  • Reims : la fin des supports en musique

Emmanuel Aziza  recommande de se reporter aux journées de l’ACIM dont une a pour sujet la transformation des bibliothèques musicales.
Christine Carrier souligne qu’à Rouen, ils ont recomposé le fonds musique et qu’à la Bpi l’application Tympan permettra l’écoute au sein de l’ensemble de l’établissement de tout le fonds musical. A l’issue des travaux, il y aura un studio de répétition et un d’enregistrement ainsi que la proposition d’ateliers autour de la pratique musicale, MAO (formation des équipes)
Magali Haettiger précise que le service musique rachète des vinyles.

  • Emmanuel Aziza suggère une étude sur les publics de la musique en bibliothèque. Cette demande sera transmise au service Etude et Recherche de la Bpi.

Télérama Séries, par Isabelle Bastian Dupleix 

La programmation autour des séries aura lieu le 23 novembre 2019 au Centre Pompidou. Pour donner une ampleur nationale au projet, plusieurs bibliothèques, hors Bpi, sont invitées à s’y associer. L’attente de réponse du sponsor n’a pas permis de réponses précises sur l’état du projet aux bibliothèques qui avaient manifesté leur intérêt. Cet événement sera gratuit pour les bibliothèques participantes hors frais techniques. La question des droits de projection sera négociée par Télérama.
Plusieurs bibliothèques présentent manifestent leur intérêt : Reims, Bordeaux, Toulouse, Lyon, Rennes.
Présentation du programme (qui sera précisé en octobre) :
Le choix des séries est effectué par Télérama. Plusieurs temps forts sont proposés :  

-diffusion d’épisodes de 30 minutes

– série en cours de diffusion

– rencontre avec un amateur de séries célèbre

–  une série en avant-première

– Workshop : entretien rencontre et discussion avec le public.

Un cahier des charges sera envoyé pour le mois de juillet. 
Une convention sera à passer avec Télérama.
Un courrier sera envoyé aux bibliothèques du conseil de coopération pour formaliser l’ensemble du projet et les conditions techniques ainsi que juridiques et  s’adapter aux besoins des bibliothèques.

Réseau Carel, par Guillaume de la Taille

Le Bureau a été renouvelé récemment, apportant ainsi de nouvelles compétences.

Président : Guillaume de la Taille (Paris).

Guillaume de la Taille présente les membres du bureau et rappelle les missions de l’association : tester les ressources, faire évoluer le marché, l’aider à se structurer,  la question du financement, les critères à éclaircir… La réfection du portail permettra une communication dans les deux sens.
Il y aura sûrement une journée d’étude, non confirmée sur le sujet de l’Autoformation. Par ailleurs, Dilicom a annoncé que les  livres audios rentrent dans PNB. Madrigall et Dilicom ont travaillé main dans la main. Prix et conditions connus à évaluer. En attente des retours des autres éditeurs.
Les réunions de bureau pourraient être ouvertes à d’autres collègues qui sont de toute façon bienvenus au CA.

Présentation des échanges de professionnels, par Eléonore Clavreul

La Bpi va proposer une liste de sujets sur lesquels elle pourrait accueillir des collègues venus des établissements membres du Conseil de coopération.

 Ifla 

Annie Brigant a été élue dans la section Public libraries et Eléonore Clavreul dans la section Services aux populations multiculturelles

La Nuit de la lecture, par Sophie Biraud et Hervé Delmare

Sophie Biraud est responsable de l’action territoriale, chef de projet nuit de la lecture et Hervé Delmare est directeur adjoint au SLL

Un nouveau visuel a été créé et des nombreux évènements sont élaborés avec de grands établissements :la Bpi, la Bnf, Cnl mais aussi des musées.
La prochaine édition de la Nuit de la lecture se tiendra le 18 janvier. Le site Bpi-pro s’en fera le relais. 
Sophie Biraud expose l’ambition d’une nuit de la lecture européenne mais cela ne se fera pas cette année. Néanmoins 31 pays sont associés via MAE et l’institut Français.
C’est un évènement complémentaire à la Nuit des idées.
Il y a un partenariat avec l’Unesco qui labellise la manifestation.
Bilan 2019 : voir document joint.

Présentation de la Fill et de la Charte des manifestations littéraires,  par Delphine Henry

Une boîte à outils en cours de constitution : tutos de la charte des auteurs, etc.
Delphine Henry précise qu’il s’agit d’un outil d’accompagnement, pas de financement. 
Le site de la Fill est un centre de ressources pour adhérents. Elle souligne que l’agenda des manifestations est la page la plus visitée du site internet.  Cet agenda est intéressant pour les professionnels comme pour le grand public.
Christine Carrier annonce qu’elle est depuis peu administrateur de la Maison de la poésie et présente le festival littéraire de la Bpi.

Voyage d’étude en Finlande : présentation par Bénédicte Jarry et Delphine Quéreux-Sbaï.

Voir dossier en ligne.dossier en ligne.

Juliette Lenoir souligne le grand succès des bibliothèques finlandaises et précise que le manque de librairies est peut être un facteur d’explication. Le livre numérique fonctionne également très bien. Il permet de prendre la défense d’une langue peu parlée.
Une discussion s’engage sur les statistiques hétérogènes fournies par les éditeurs numériques. Juliette Lenoir insiste sur le fait que les statistiques ne sont pas comparables entre elles (les mêmes indicateurs diffèrent) . Une grille d’évaluation commune est à mettre en œuvre mais ce ne sera jamais satisfaisant. Il faudrait un contrôle sur les chiffres et imposer cela dans le cahier des charges. A mettre à l’ordre du jour d’une prochaine réunion.
Prochain voyage d’étude : Amérique du Nord, Québec ?  Une proposition sera faite ultérieurement 

CTEAC  à Reims : contrat entre collectivité, rectorat, Drac  par Delphine Quéreux-Sbaï

Voir support joint.

Dispositifs en temps scolaire/périscolaire/extrascolaire avec bibliothèque et pas seulement des bibliothécaires jeunesse.
Ecriture d’un CTEAC.
Présentation de la genèse, du calendrier et de la méthode, des objectifs.
Un petit point est fait sur les obstacles : identifier les bons interlocuteurs de l’Education nationale notamment, les priorités de chacun, les calendriers, etc.
Cela fait peu de temps que les actions EAC sont reconnues lorsqu’elles sont organisées par les bibliothèques qui ont mis longtemps à s’emparer du vocabulaire.

Vade-mecum sur l’Education aux Médias et à l’information, par Nathalie Daigne 

Réflexion en cours sur un outil synthétique pour permettre aux collègues d’avoir les informations de base nécessaires pour se lancer dans des ateliers EMI.
Il y aura des encarts destinés au partage d’expérience. Pour cela des collègues vont être sollicités, mais aussi autres acteurs (associations, etc.).
Production à l’automne d’une première version sous format numérique. 
Les membres du conseil de coopération en particulier seront sollicités pour partager leurs expériences et une relecture globale.
Un courrier  va être envoyé prochainement pour préparer le séminaire du 25 novembre.
Toulouse va accueillir deux JE sur l’EMI  dont une le 2 décembre. 
Thierry Claerr présente un bilan rapide du travail avec les jeunes issus du service civique. Il souligne qu’il est très positif d’avoir des jeunes comme ambassadeurs pour faire venir des populations qui ne venaient pas

Un bilan détaillé est en cours d’élaboration.
Il confirme que des connexions sont possibles entre BNR et EMI .
Il expose l’appel à projet national dans le cadre duquel l’Afev, Unicité et la fédération des centres de formation aux carrières des bibliothèques vont élaborer un tutoriel.
Pour mémoire, il y a également les stages EMILE avec Savoir Devenir, pour les prochaines sessions, il reste des places pour le niveau expert. 

Plan lecture à Grenoble,  par Isabelle Westeel 

En septembre 2017, Grenoble a décidé  la construction d’un plan 2018-2025 pour les bibliothèques : c’est une prise en compte du mécontentement suite à la fermeture des sections jeunesse.
La délibération a eu lieu en mars 2019.
Information sur le réseau :   le rapport d’activité est le document de référence.
Le réseau est bien doté en termes de budgets et  de collections (comparatif avec villes de tailles comparables).
Enquête des publics et des non publics en 2018
Le réseau de Grenoble accueille un public très fidèle et qui vient souvent.
Fréquentation en dessous de la moyenne nationale (33% vs40%).
Jeune public 15-30 ans est  difficile à toucher.  
Des groupes de travail internes ont été constitués pour réfléchir à l’avenir du Réseau  et pour renforcer la culture commune.
Cela a abouti à un livre de proposition  (en ligne) 
Trois séances de débat public, verbatim publiés (formation des collègues au débat public en lien avec la direction de la démocratie participative .
Délibération avec 4 orientations qui seront la feuille de route :

  • pour une connaissance partagée 
  • une politique documentaire ouverte et lisible
  • un numérique au service de l’humain
  • adapter les horaires aux rythmes de vie des habitants 

Mise en place de la gratuité totale dans les bibliothèques  (grande campagne de communication) y compris pour les non grenoblois ce qui fait bouger les grandes villes de la métropole
investir pour des bâtiments ouverts et attractifs, bibliothèque étude et patrimoine en voie de transformation, faire émerger une bibliothèque tête de réseau 
 Le travail va commencer à partir de la rentrée.
Cette communication  est perçue comme un pendant à la crise pour la restauration de la confiance. 

Retour sur la matinée professionnelle du 25 juin organisée par les associations des bibliothèques des départements du 92, 93 et 94, et l’ADAC-IdF à la Bpi sur le thème : Quels projets de lecture publique pour les établissements publics territoriaux ?

David-Georges Picard a posé le cadre des nouvelles organisations territoriales et de l’enjeu que représente la lecture publique en s’appuyant sur les grandes mutations apportées par les lois MAPTAM (modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles) et la loi NotRE (Nouvelle organisation territoriale de la République).
Les bibliothèques sont perçues comme des outils pour faciliter l’intercommunalité car cette logique est intrinsèque à la lecture publique.
Avec la création ou la consolidation de 14 métropoles, il est complexe d’établir une typologie de leur structuration.
La table ronde qui a suivi a montré la disparité des territoires au sein du Grand Paris : certains réseaux sont partiellement intégrés aux EPT, d’autres entièrement.
 Deux élues en charge de la lecture publique (Vallée Sud- Grand Paris 92 et EPT Plaine Commune 93)  et deux DAC (EPT Est-ensemble 93 et Fontenay-sous-Bois) ainsi que d’une directrice de médiathèque (réseau Grand Paris Sud Est Avenir 94) ont fait part de leurs expériences et des actions menées en racontant la manière dont les établissement de réseaux de lecture publique ont été transférés et les avantages et les difficultés de ces différents modèles de coordination et de pilotage. 
A Plaine Commune, la médiathèque a été saisie comme enjeu politique et de service public, car les équipements culturels ne sont  pas une compétence obligatoire (ce qui pose la question de la fracture politique). Cependant, beaucoup de communes se sont mises en réseau avant la loi NoTre.
Dans ce territoire particulièrement actif, 65 millions d’euros ont été investis et 14500 m2 ont été construits, et plus de 6000 rénovés. Une nouvelle bibliothèque ouvrira à Villetaneuse. 
La question de la polycentralité est importante, ce qui entraîne un travail sur la mobilité du public et des agents.
A Vallée Sud Grand Paris, un diagnostic sur la composition du territoire est en cours : on relève une grande disparité des moyens, des pratiques et des conceptions. Le réseau de lecture publique est difficile  à constituer. La nouvelle médiathèque de Sceaux ouvrira en septembre.
Carole Ziem (DAC Fontenay-sous-Bois) après avoir rappelé que les politiques culturelles sont à la croisée de nombreuses politiques publiques, signale que la plue value du réseau est avant tout pour l’usager qui a accès à l’ensemble des documents du réseau. La difficulté dans son territoire est de trouver le bon équilibre entre la logique de territoire et la logique locale, afin, par exemple, de ne pas oublier la transversalité avec les autres services de la ville.
A Grand Paris Sud Est Avenir, les directeurs de bibliothèques, malgré la disparité de leurs collectivités ont choisi de travailler avec une charte partagée. Ce modèle de gouvernance coopérative est ambitieux. Le DGA est multi-compétent, et les médiathèques considérées comme un maillon incontournable de l’emploi. La culture a été transférée en plusieurs temps et la collégialité des directeurs de médiathèques, si elle prend en compte les disparités territoriales éloignent du centre de décision. 
A Est-Ensemble, toutes les bibliothèques n’ont pas été transférées (6/9). Les directeurs de bibliothèques collaborent et le réseau se construit. Une incertitude financière pèse cependant. La meilleure équité des moyens et des financements promise par le Grand Paris n’est pas encore advenue. 
Dominique Lahary a conclu la journée en rappelant que des fiches pratiques sont disponibles sur le site de l’ABF (commission bibliothèques en réseau) et a souligné les difficultés, notamment financières et en termes de gouvernance, sans entamer l’enthousiasme et le dynamisme de l’assistance, grâce à une présentation illustrée, et structurante,  émaillée d’humour ! 

photographie des membres du conseil de coopération
©Juliette Lenoir

Publié le 08/07/2019 - CC BY-SA 4.0

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