Cinéaste attentif, Xavier Gayan s’attache à travers ses films à redonner un espace sensible à la parole.
Xavier Gayan, si vous deviez vous présenter en quelques mots…
Je poursuis une activité de réalisateur de documentaires depuis 20 ans, de manière indépendante. J’essaie d’écrire une œuvre documentaire qui se veut dans la lignée du cinéma direct et qui donne une large part à une parole libre.
Dans vos films il est question de mots, d’idées, pourquoi donnez-vous tant d’importance à la parole ?
Peut-être qu’au départ c’est inconscient. Pour mon premier documentaire, j’ai eu envie de faire le remake de Place de la République de Louis Malle, trente ans jour pour jour après son tournage. Dans ce film, il allait à la rencontre des passants et les laissait s’exprimer le plus librement possible pour avoir les préoccupations de l’époque. Au départ, l’idée de refaire Place de la République était liée au dispositif qui, malgré sa simplicité, rend le film très riche. J’avais envie de lui rendre hommage et de dire qu’avec une caméra posée sur une place pendant 10 jours il peut se passer et se dire plein de choses.
En reprenant ce dispositif j’ai constaté l’importance de laisser la parole s’exprimer sans orientation ni temps imparti. J’ai senti que c’était quelque chose d’ancré en moi de permettre cela, j’avais en effet, depuis longtemps, un fort intérêt pour la sociologie et la psychologie. D’ailleurs, à la sortie du film, des journalistes ont utilisé l’expression à mon égard de psychanalyste de la République.
J’ai toujours été très intéressé par le fonctionnement de l’être humain, ce qu’il a à dire. Je ne me suis jamais vraiment posé la question, j’en ai plutôt fait une conclusion parce qu’effectivement tous mes films sont sur la parole. Ce qui m’intéressait au départ, ce n’était pas les paroles d’intellectuels. Quand une personne sait manier le langage, ce n’est pas exactement pareil que quelqu’un qui n’a pas l’habitude d’être interviewé. C’était vraiment l’objectif de mes deux premiers films. Puis pour Les Poètes sont encore vivants, je voulais faire découvrir les poètes d’aujourd’hui. Je pense que 99% des français ne connaissent pas de poètes contemporains donc c’était l’occasion. Je les ai interviewés de la même manière que je l’aurais fait avec quelqu’un dans la rue. Je faisais durer les entretiens pendant des heures pour casser leur habitude de construction du discours. J’ai fait exactement la même chose avec Roland Gori. Je l’ai installé dans un fauteuil pendant plusieurs heures. Dans le film sur Roland Gori je défends l’importance du récit que lui défend aussi. C’est une des choses qui m’a attiré vers lui.
Comment construisez-vous vos films ?
Souvent je pars à l’aventure, avec pour principe de trouver les plans sur le moment et de penser après à la façon dont ils feront écho avec ce qui est dit. Par exemple, en ce qui concerne les plans du mobile avec les mots dans le film sur Roland Gori, on les a filmé chez les éditeurs Les liens qui libèrent sans savoir le sens que cela aurait dans le film. Le soir en revoyant les rushes ça m’est apparu. Je savais comment j’allais monter le film. D’abord on a fait un plan complètement flou en allant chercher la lumière. C’était la naissance du monde donc on allait parler du monde, de la vie, de l’existence. Ensuite les autres plans sont les mots qui tournent, c’est-à-dire le langage avec lequel les gens viennent se confier à lui, le récit sur lequel il travaille. Le mobile c’est aussi l’enfance, une façon d’exprimer cette part très présente et très importante pour Roland Gori. C’est un petit clin d’œil à son énergie et à son enthousiasme.
Comment avez-vous rencontré Roland Gori ?
Je l’ai découvert sur internet. Le soir pour m’endormir j’écoutais des conférences filmées, je les écoutais mais ne les regardais pas. Quand une vidéo se termine, un algorithme vous en trouve une autre qu’il estime en rapport avec la précédente. Donc il a trouvé La Fabrique des imposteurs, une des conférences de Roland Gori vue plus d’1 million 700 000 fois, ce qui est beaucoup pour un penseur. Je ne le connaissais pas du tout. Je l’ai trouvé vraiment drôle, percutant. Je partageais ses pensées, ses combats. C’est assez ironique quand on sait qu’il dénonce inlassablement les algorithmes. Pour la première fois je me suis dit que je pouvais faire un film sur une seule personne. Parce qu’avant je n’avais fait que des films où plusieurs personnes conversaient. Pendant un ou deux ans j’y ai pensé comme ça. Et puis un jour où il passait à Paris pour une discussion autour du film de Jérôme le Maire Dans le ventre de l’hôpital, je suis allé à sa rencontre pour lui dire que j’avais envie de faire un film sur lui. Je lui ai donné deux DVD de mes anciens films Les poètes sont encore vivants et Rencontres en Guyane. Il les a regardés puis on a commencé à se voir et à évoquer le projet. Il était très motivé, m’a donné ses disponibilités et j’ai trouvé une équipe pour le filmer à Marseille. Le tournage avec lui a duré cinq jours. Comme j’avais l’habitude de filmer plusieurs personnes, ça me tentait bien de faire des digressions avec ses proches, comme Barbara Cassin, son épouse Marie-José Del Volgo, ses éditeurs, Richard Martin et d’autres qui ne sont pas restés au montage. Je faisais des entretiens de 4 heures pour qu’il perde un peu son habituelle façon de parler. J’étais obligé de le faire s’asseoir parce que debout il parle trop vite. Je lui ai aussi interdit les formulations trop complexes parce que le but était quand même de rendre le film accessible à un public large. Le montage a vraiment été pensé dans ce sens. Depuis qu’on a tourné , il y a plus de 4 ans, on échange presque tous les jours.
Est-ce que la rencontre avec le public était une dimension importante envisagée dès la conception du film ?
Oui je l’espérais. J’ai fait ce film pour le cinéma puisqu’aujourd’hui c’est le seul moyen de liberté. Le film a été refusé par les télés parce que la façon de raconter ou le style filmique ne convient pas.
Est-ce l’espace que vous laissez à la parole qui peut poser problème ?
C’est certain pour un grand nombre de diffuseurs.Cela fait quelques années que progressivement le cinéma documentaire trouve une place plus importante dans les sorties en salles. Mais ce n’est pratiquement pas rentable en réalité. Pour vivre, les cinéastes doivent avoir des financements et généralement ils sont déclenchés par le fait que le film soit pré-acheté par une télé. Le problème c’est que dans la majorité des cas les télés refusent la parole trop complexe. J’ai appris l’autre jour que sur une chaîne plutôt réputée, on a demandé à une cinéaste de mettre une voix off pour dire « C’est l’hiver » alors qu’il neigeait à l’image. On lui a expliqué que pendant le film les gens allaient faire autre chose, couper les légumes par exemple et que sans voix off ils ne relèveraient pas la tête.
La télé n’est pas faite pour être regardée, s’il y a trop de silence le spectateur change de chaîne.
Avez-vous été surpris pendant le tournage ?
La surprise était là. Par exemple, quand j’ai filmé les poètes j’ai essayé de ne pas en savoir trop pour garder ma spontanéité. Quand Charles Pennequin me dit qu’il a été gendarme, je le découvre. Je m’étais interdit d’en lire trop pour pouvoir poser des questions qui peuvent paraître naïves et permettent un autre échange et contact avec eux. Parfois je regarde des documentaires où je vois que les interlocuteurs parlent d’une façon qui n’est pas incarnée, que ce n’est pas vivant entre le filmeur et le filmé. J’ai essayé chaque fois d’en savoir le moins possible, même pour Roland Gori. C’est ma méthode. En faisant du documentaire j’ai découvert quelque chose de très différent du cinéma de fiction. Avant, dans mes courts métrages de fiction je pensais tout à l’avance, tous les plans étaient déjà prévus, les axes de la caméra… j’étais très méticuleux. La façon dont j’appréhende le cinéma documentaire est très différente, on part, on improvise totalement. Il faut laisser l’étonnement arriver, laisser place à l’imprévu même quand on est avec des poètes, même quand on est avec Roland Gori. Quand je faisais des micro trottoirs Place de la République c’était vraiment des personnes prises au hasard qu’on allait rencontrer. J’étais alors dans une position d’abandon pour recevoir leur parole. J’essaie d’intervenir le moins possible et de laisser la pensée se développer, c’est ça qui est intéressant.
Qu’est-ce qui ressort des échanges avec le public ?
Le film tourne depuis plus de 7 mois. Cette semaine par exemple j’étais dans 4 lieux différents, à Toulouse, Saint Gaudens, Paris, et à Jausiers, un petit village dans la montagne. Les publics sont très différents. Quand j’arrive dans la salle, je demande toujours qui connaît déjà Roland Gori, il y a des séances où pas mal de gens le connaissent, et d’autres où les gens sont venus par hasard, pour découvrir. Beaucoup de travailleurs sociaux, de psychologues, de psychanalystes viennent aux projections et me remercient « Votre film me rappelle le sens de mon travail que j’avais oublié ». J’ai vraiment été surpris de cet accueil. Je pensais qu’il y aurait plus d’opposition, que la façon dont Roland Gori parle de la psychanalyse pouvait créer des divergences. En ce moment énormément de psys se sentent attaqués et le film met en valeur leur profession. Les séances publiques permettent aussi de partager des expériences et d’échanger ensemble. J’apprends tous les jours de nouvelles choses. Par exemple concernant les enfants qui ont des problèmes psychiques. À Saint Gaudens quelqu’un nous disait qu’il était désormais interdit d’utiliser le terme de souffrance. Ils ont des problèmes mais pas de souffrances. Il y a également la question des évaluations, ces modèles où il est impossible d’exprimer les vrais sujets puisque les questions sont préétablies. Globalement, les gens disent qu’ils n’en peuvent plus. J’ai participé à plus d’une trentaine de débats où j’ai entendu des témoignages très poignants sur la souffrance au travail. Parfois Roland y va tout seul, parfois nous y allons à deux. Dans chaque ville, des intervenants psychanalystes ou travailleurs sociaux participent. Le film n’est pas là pour convaincre absolument, mais pour donner matière à réflexion.
Vous venez du théâtre, quelles traces sont visibles dans votre cinéma ?
Dans la structure de mes documentaires, je m’inspire du théâtre des années 70, notamment celui de Fassbinder, pour la déconstruction de la narration. Par exemple, dans Les Poètes sont encore vivants il y a des sujets qui reviennent, tels le fait d’être bilingue ou trilingue et l’influence que cela a sur l’écriture. J’ai refusé le regroupement ou l’organisation thématique. J’aime bien au contraire passer du coq à l’âne, jouer sur les répétitions et l’éparpillement du propos. J’ai confiance dans la capacité du spectateur à comprendre mes intentions sans avoir à appuyer mon propos. Les échanges avec le public m’ont conforté dans cette démarche. Dans le film sur Roland Gori, il y a une scène tournée au théâtre Toursky à Marseille. J’ai mis un plan avec la salle totalement vide quand Roland Gori commence à raconter sa deuxième blague. Il y a un côté théâtral. Il adore faire des conférences. Il a une soif de parole. J’avais une partie, dans les précédents montages, que je n’ai pas conservée où il explique la jouissance de la parole à laquelle il avoue s’adonner bien volontiers. Pour revenir au théâtre, j’avais le rêve d’être à la fois metteur en scène de théâtre et réalisateur de film et je me suis aperçu que c’était très dur de pouvoir conserver une troupe pendant plusieurs années. Les comédiens sont obligés d’être sur plusieurs projets à la fois pour pouvoir en vivre. Donc le jour où vous êtes sélectionné dans un festival et qu’un de vos comédiens est sélectionné dans un autre festival, il doit choisir entre les deux pièces. Le théâtre me manque mais ça fait déjà longtemps que j’ai arrêté. Et en termes d’émotion, c’est aussi un vrai plaisir de tourner, d’interviewer les gens, d’aller chercher des plans qui vont fonctionner avec le film, de s’abandonner pendant plusieurs jours aux gens. Dans ce monde, il paraît très compliqué de pouvoir faire les deux. Il faut se battre. Il faut aller chercher des financements, accompagner le film, se battre pour le passer dans certaines villes.
Sur quels projets travaillez-vous ?
Avec le même distributeur, on est en train d’essayer de sortir le film Au Clémenceau qui se déroule dans un bar tabac PMU. Il vient d’obtenir le Prix du meilleur long métrage dans un festival. C’est un film plus difficile que les autres parce que ce qui est montré est assez dur. Ce sont des personnes qui ont parfois des maladies mentales, qui sont alcooliques et ont une addiction au jeu. Ce sont des témoignages assez bruts. Il faut déjà trouver une salle à Paris qui accepte de le projeter pour ensuite pouvoir le diffuser à travers toute la France. Sinon j’ai commencé 4 nouveaux films. Un sur l’histoire de l’immigration de ma famille espagnole au début du siècle dernier. Une immigration de gens pauvres qui ne savaient ni lire ni écrire, et ont été maltraités à leur arrivée en France. Ils n’ont pas raconté leur histoire parce qu’ils avaient honte de leur origine. Ce n’est pas le cas de l’immigration de 1936, qu’on appelle la Retirada. Eux étaient fiers, peut-être plus cultivés, ils ont été contraints de quitter le pays à cause de la dictature. Ce n’est pas du tout pareil. Je raconte une histoire qui n’a jamais été racontée. J’ai filmé la soeur de mon grand-père qui est décédée six mois après. Le fait qu’un de mes oncles m’apprenne que ma famille venait du même village que Luis Buñuel a suscité mon intérêt et m’a donné l’envie d’en savoir plus. Je suis aussi aller filmer une autre tante de 97 ans, avec qui je n’ai pas de sang commun, l’épouse du frère de ma grand-mère. C’est quelqu’un qui a eu une existence de femme libre malgré des contraintes de vie assez fortes. Elle a eu une méningite quand elle avait 16 ans, au cours d’une épidémie à Montpellier qui a fait 40 morts en 1940. Sauvée de justesse, elle a eu une patte folle toute sa vie. Sa mère est morte quand elle était gamine et son père les a abandonnés. N’ayant pas pu faire des études, elle a quand même réussi à avoir des métiers importants. Elle s’était mariée à mon grand-oncle avec qui elle s’ennuyait. Son amant l’a attendu pendant 35 ans. Elle a vécu sa meilleure période sexuelle entre 70 et 84 ans et n’y va pas de main morte pour la raconter. Je veux faire un film sur le combat d’une femme éprise de vie et de liberté.
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